Je me souviens comment je marchais, dans le froid, une echarpe autour, cette echarpe que je t'avais laisse, que tu avais pendant ces quelques mois, l'echarpe qui portait encore ton odeur. Je marchais et je ne pouvais me retenir de pleurer, je sentais que j'avais besoin de me poser, de me calmer, de m'assoir quelque part, par terre, peu importe,  ce n'est pas ca qui comptait a ce moment precis, je me sentais toute perdue, je me sentais seule et abandonnee. Je m'archais droit devant moi, mais je ne voulais pas quiter cette place qui etait si proche de la ou tu habitais. Je portais des lunette de soleil pour cacher mes yeux rouges tout en larmes. Ni la musique, ni le beau temps ne pouvais me calmer. Je voulais revenir en arriere, je voulais revenir devant ta porte, frapper, et te demander pardon, te redemander encore une fois ce qui s'etait passe dans ta tete, je suis revenue plusieurs fois devant ta porte, mais a chanque fois, je repartais. Je voualis juste faire durer ce temps ou j'etais avec toi, je voualis encore te voir un peu car je savais que ca ne se reproduirais plus. Je me souviens quand tu m'as prise dans tes bras pour me dire un dernier aurevoir, je pleurais tellement, que je ne pouvais pas sentir ton odeur pour la derniere fois, je ne voualsi plus te regarder, a cet instant, je voulais m'enfuir. Et quand j'avais franchis, sans dire un mot, tu avais tout de suire referme la porte sous mon nez. Cette fois, j'avais compris que c'etait fini, mais je voulais pas y croire.  Alors j'ai commence a marcher pres de chez toi, je ne voualis plus revenir a l'interant, je savais que je me sentirrais encor eplus mal la bas. Je voulais rester dehors, juste devant ton appartement. Mais j'ai commence a partir lentement, jusqu'a prendre mon bus et revenir dans mon lit, me cacher, me plonger sous la couhette, et juste penser a autre chose, mais jy arrivais pas. Je me souviens que j'avais mon portable a la main, je l'ai laisse pres de main, je me suis endormi avec, j'attendais un petit message de toi, j'esperais que tu me reconforte ou que tu me dises " je suis desole" pour la miliemme fois. Je me souviens que j'avais mis du temps a realiser que rien ne deviendra comme avant, que je ne te serrerais plus dans mes bras et que petit a petit j'oublirais ta voix, ton odeur, mais je savais que je n'oublirais jamais ces moments que j'avais passe dans tes bras.
Je me souviens de cette image ou je marchais sur ce parking jusqu'au bus, c'etait comme si, je me trouvais dans une ville inconnue, que je ne savais plus rien et que la seule chose qui me faisait avancer, la seule chose qui me retenait ici, je vennais juste de la perdre. Je me souviens parfaitement, encore maintenant, de tout ce que je ressentais a ces moments. C'est comme si je le revivais.

Je ne sais a sdu tout pourquoi j'ai besoin de revenir a ces choses la, a cette epoque qui etait la plus triste pour moi cette derniere annee. J'ai peut etre besoin dy revenir dessus pour me dire que c'est dans le passe et que tout ce que j'ai vecu pendant toutes ces semaines de soufrances, m'ont permis de grandir et de comprendre plus choses, ce ne sont que des mauvais souvenirs, mais j'ai besoin de les revivre dans ma tete. Et je ne sais pas pourquoi.

Je me souviens aussi des sentiments que j'eprouvais quand je suis revenue chez moi, sur Bourges. La table du salon se trouvait dans un endroit a cette epoque, je l'avais deplace expres pour pouvoir m'assoir et passer le temps sur msn en esperant te voir connectee, meme si je ne venais pas te parler, je savais qu'a cette instant precis, tu etais aussi face a ton ecrant quelque part, loin de moi. Mais ce qui m'apportait, c'etait de savoir que tu etais la. J'ai dessine un tres beau dessin penant ces jours la, il est encore la, et il me rappel toute la melancolie, toute la tristesse de cette epoque ou je ne realisais pas encore que tu etais bel et bien partie et que tu ne reviendrais plus. J'avais du mal a imaginer le fait qu etu pouvais etre sans moi, que petit a petit , toi aussi tu vas m'oublier, que tu vas reconstruire ta vie avec qelqu'un d'autre. Alors a cette instant, sur le coup de l'emotion, je t'avais ecrit une lettre, en esperant te faire changer d'avis ou du moins esperer que tu la lises e t que tu reviennes vers moi.

C'etait un passage sans lequel je ne pouvais pas.

C'est fou ce que la peur peut enlever l'envie de sommeil. Cette boule dans le ventre, ce n'est pas pour rien qu'on dit " boule au ventre". Je dirais que c'est bien une boule, ou plutot une boule imaginaire tout au fond du ventre qui devore tout ce qui aux alentours.  J'ai beau me tourner et retourner dans tous les sens, elle ne part pas, j'ai beau me calmer, souffler, fermer les yeux, elle grandi meme encore plus. Cette " boule au ventre" cree par la peur,  augmente la peur encore plus. Dans ces moments la, je me roule sur moi meme, en avant puis en arriere, generalement ca part, mais des que je m'arrete de bouger, elle recommence a me faire mal. Je ne peux pas passer ma nuit a me rouler sous la couhette...?  Niveau physique, c'est completement impossible! Je dirais que dans ces moments la, il faut se lever et faire quelque chose, moi generalement je prends mon crayon et je dessine, ca me calme et ca me fait oublier ma peur. Je dois vous avouer que ca marche plutot bien.

Je me sens bien dans ton jardin
Il est magnifique
C'est reposant
Le matin, aucun bruit, apres une journee eneigee
La neigeest  fondue sur les feuilles des arbres, les buissons, les fleurs
Entends tu le chant des oiseaux resonnant dans le silence?
La neige qui tombe doucement des branches
Le chat qui joue avec les flocons
 
Je sais que tu etais deja  venue ici auparavant, pour contempler ce paysage
Moi, c'est la toute premiere fois que je me retrouve dans cet endroit, et je m y sens bien
En securite
Meme si tu n'es pas a cote de moi
Dommage que tu n'etais pas la  pour profiter de cet instant de serenite...

Hum... Je suis arrivee la, en esperant ecrire quelque chose de plutot interessant, mais une fois devant la page, bah je sais plus ce que je voulais dire. Enfin, ce n'est pas comme si je voulais dire quelque chose en particulier, mais finalement c'est le seul endroit ou je peux me pleindre! 
Au fait, je suis toujours joyeuse et toujours de bon heumeur, meme quand je suis completement crevee, bah je suis quand meme de bonheur, mais c'est le bordel dans ma tete. Si quelqu'un sait lire les pensees, ne lisez pas les miennes, vous n'allez trouver que du bordel pas du tout reciclable. Et le fait qu eje ne peux le mettre nul part, fait qu'il est la, inclassable dans aucune de mes petites cases et il reste la, malange a tout le reste! Mais je gere quand meme pour my retrouver, sinon, c'est pas possible de vivre.
Mais sinon, jsuis plutot contente de ma vie, j'ai rien a dire, je coirs que j'en ai fait exactement ce que je voulais, pour le moment, j'ai rien rate. On va voir comment ce sera dans le futur...